Comment se passe une initiation occulte ?
Par qui, et dans quel cadre l'initié reçoit l'enseignement des choses hermetiques ?
De transmission orale, transmission d'experience surtout, le maître choisit un successeur et lui révèle ce qu'il devra transmettre à son tour. Un successeur qu'il connaît depuis longtemps, qui l'assiste et le seconde. Aucun inconnu n'accède par hasard à ces choses là.
C'est un enseignement clos qui ne sort pas d'une famille, d'un clan, d'une ethnie, d'un village etc...
C'est le cadre typique de la lignée. On préserve une tradition vieille de quelques générations à plusieurs siècles. On dénombre une centaine de lignées en France.
Dans un cadre plus structuré d'une 'organisation' comme certaines loges F.M, sociétés secrètes, mouvements, c'est beaucoup plus compliqué.
En premier lieu parce que les personnes qui adhèrent à ces mouvements le font dans Un but interessé, et forcément materialiste. Posseder du pouvoir, de l'argent, des relations, etc...
Quelques vérités à dire. Personne ne cache l'appartennace à ces milieux. Mais une discretion prevaut. On n'en parle pas pour raisons de convenances. Vous devez apporter une réforme à l'édifice. Si vous n'apportez rien, vous n'y rentrez pas. Le fonctionnement de ces mouvements est trés occulte. Pas d'organigramme, pas de hierarchie compréhensible. Pas de lieux précis. Pas de siège social. Il faut comprendre ces mouvements evidemment du point de vue d'une personne de l'interieur. les mouvement d'obédience Occulte et Hermétique sont materiellement des réunions informelles qui ne regroupent jamais beaucoup d'indvidus. La proportion varie de 15 à 80 membres pour les mouvements les plus conséquents.
Un fonctionnement trés sectaire donc, mais il ne faut pas se méprendre. Ces mouvements n'acceptent pas facilement les nouveaux venus. Et n'en souhaite guère la plupart du temps...
Une autre idée reçue, il ne faut pas voir ces mouvements et ces sociétes comme des mouvements ultra puissants, dictant à ses agents de s'implanter dans l'ombre dans le corps social. Cela ne reste qu'un club fermé qui assure (et c'est déjà énorme !) la fortune et la richesse de ses membres.
En second lieu, c'est que la nature de ces société secrètes est trés malaisée à définir car leur lecture est parasitée par le fantasme ambiant.
Les sociétés secretes sont tournées vers la traditions du grand architecte, majoritairement, c'est à dire le decryptage et l'étude des savoirs de puissance d'inspirations Cistercienne, Egyptienne et Orientale.
Elles ne constituent qu'un sujet d'étude limité car leur fonction est trés vite cernée et ne s'embarasse pas d'une portée plus grande que preserver la richesse de ses membres. Il n'en reste pas moins qu'il s'agit d'une sorte d'aristocratie dans l'occulte.
Les sociétés se créent de cette façon, la plupart du temps:
Il arrive qu'un sorcier, un mage, un occultiste, décide de créer et de rassembler autour de lui des disciples, à qui il confie une parcelle de son don, mais à qui il assure surtout (et avant tout !) richesse, et grand train de vie. Les sociétés débutent avec la volonté du sorcier de vivre comme un seigneur, un roi ou pour les plus violents comme un chef de clan ou un maître de guerre. Litteralement comme un gourou à son sens premier.
Ces sociétés sont des solidarités; féodale dans leur modes d'orgnisation, Un nouveau venu donne serment au maître, qui dispense les bienfaits en échange d'une fidélité et d'une servitude.
Forcément, cette création ne suggère pas les meilleurs sentiments de la part du sorcier. Vont se diviser ceux qui créent la solidarité dans le but de protéger un lieu, une institution, une connaissance, et ceux qui vont se vautrer dans la luxure, la volonté de puissance...
Ces sociétés secrètes ne sont que l'armée, la cour d'un sorcier devenu gourou. tout le monde comprend facilement le danger de ces gens-là...
En retour c'est l'assurance d'une vie exaltée, pleines de richesse, excitante, facile...
Bien que la distinction soit trés tranchée, les sociétés secrètes de divisent entre "les protecteurs" qui d'une manière générale, préservent et protégent l'intégrité d'un groupe de personnes, d'une institution, dans des attitudes trés chevaleresques; Et les "Les mercenaires", livrée à la seule volonté, le seul caprice du sorcier.
Mis à part les sociétés "protectrices" dont le but dépasse le créateur. les sociétés "mercenaires" ne survivent pas au décès du maître. Comme il ne transmet rien la plupart du temps, tout s'écroule. Elle disparait totalement.
Les sociétés secretes sont tournées vers la traditions du grand architecte, majoritairement, c'est à dire le decryptage et l'étude des savoirs de puissance d'inspirations Cistercienne, Egyptienne et Orientale.
Elles ne constituent qu'un sujet d'étude limité car leur fonction est trés vite cernée et ne s'embarasse pas d'une portée plus grande que preserver la richesse de ses membres. Il n'en reste pas moins qu'il s'agit d'une sorte d'aristocratie dans l'occulte.
Les sociétés se créent de cette façon, la plupart du temps:
Il arrive qu'un sorcier, un mage, un occultiste, décide de créer et de rassembler autour de lui des disciples, à qui il confie une parcelle de son don, mais à qui il assure surtout (et avant tout !) richesse, et grand train de vie. Les sociétés débutent avec la volonté du sorcier de vivre comme un seigneur, un roi ou pour les plus violents comme un chef de clan ou un maître de guerre. Litteralement comme un gourou à son sens premier.
Ces sociétés sont des solidarités; féodale dans leur modes d'orgnisation, Un nouveau venu donne serment au maître, qui dispense les bienfaits en échange d'une fidélité et d'une servitude.
Forcément, cette création ne suggère pas les meilleurs sentiments de la part du sorcier. Vont se diviser ceux qui créent la solidarité dans le but de protéger un lieu, une institution, une connaissance, et ceux qui vont se vautrer dans la luxure, la volonté de puissance...
Ces sociétés secrètes ne sont que l'armée, la cour d'un sorcier devenu gourou. tout le monde comprend facilement le danger de ces gens-là...
En retour c'est l'assurance d'une vie exaltée, pleines de richesse, excitante, facile...
Bien que la distinction soit trés tranchée, les sociétés secrètes de divisent entre "les protecteurs" qui d'une manière générale, préservent et protégent l'intégrité d'un groupe de personnes, d'une institution, dans des attitudes trés chevaleresques; Et les "Les mercenaires", livrée à la seule volonté, le seul caprice du sorcier.
Mis à part les sociétés "protectrices" dont le but dépasse le créateur. les sociétés "mercenaires" ne survivent pas au décès du maître. Comme il ne transmet rien la plupart du temps, tout s'écroule. Elle disparait totalement.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire